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Le tarot divinatoire est un art divinatoire qui utilise les cartes du tarot de Marseille ou sous d’autre forme comme le tarot des anges ou tarot des égyptiens. Il s’agit d’une forme de cartomancie. C’est l’art de tirer les cartes, les tarots1.

L’interprétation des cartes de tarot – comme oracle ou dans le cadre d’une approche plus psychologique – est parfois désignée par des néologismes, comme « tarologie ».

Cette pratique repose sur un ensemble de croyances, propres à l’occultisme, quant à l’existence de forces mystérieuses ou de liens invisibles entre les choses. Dans le milieu occultiste, de nombreuses théories attribuent à l’usage divinatoire des cartes de tarot, comme aux cartes elles-mêmes, des origines mythiques très diverses : Égypte ancienne, Bohémiens, etc..

Historiquement, la plus ancienne trace connue de l’approche des cartes de tarot comme instrument d’interprétation apparaît à Bologne dans la première moitié du XVIIIe siècle2.

Un point marquant de son développement apparait vraisemblablement à la fin du XVIIIe siècle, dans l’œuvre d’Antoine Court de Gébelin immédiatement prolongée par Jean-Baptiste Alliette, dit « Etteilla », mais la source en est vraisemblablement italienne3.

Au XIXe siècle, Eliphas Lévi développa une théorie qui, associant notamment les 22 cartes majeures (nommées « arcanes majeurs » à partir de 1863, en référence au lexique de Paracelse) aux 22 lettres de l’alphabet hébreu, est devenue la référence dans le milieu occultiste.

À partir du travail de Lévi, de nombreux jeux de tarot divinatoire ont été créés au tournant des XIXe et XXe siècles par différentes sociétés occultistes, essentiellement françaises et anglo-saxonnes, chacune désireuse de développer un jeu dont l’iconographie et la clé d’interprétation seraient conformes à sa doctrine.

La voyance est une forme de divination dont on trouve l’existence dans les civilisations les plus anciennes. On trouve la mention de « voyants » (rishi) dans les textes védiques les plus anciens

Chez les Grecs, la possibilité de prédire l’avenir provient de l’idée que les dieux, de préférence quand on les priait, accordaient régulièrement des révélations par l’intermédiaire d’augures.

 

Selon les spirites, la médiumnité serait une perception spéciale, plus subtile, qui prêterait à certaines personnes la faculté de servir d’intermédiaire aux esprits de l’au-delà. Ils considèrent que les médiums peuvent se diviser en deux grandes catégories :

  1. Les « médiums à effets physiques » : ceux qui auraient la capacité à provoquer des effets matériels ou des manifestations ostensibles.
  2. Les « médiums à effets intellectuels » : ceux qui seraient plus spécialement propres à recevoir et à transmettre les communications intelligentes6.

Bien sûr, la frontière entre ces deux types de médiumnité est poreuse et bien souvent un médium participe à la fois, à l’un et à l’autre.